Choisir le statut est la première étape de la création d’une entreprise. Contrairement aux idées reçues, cette étape est bien plus compliquée. Avec toutes les alternatives qui sont disponibles actuellement sur le marché, trouver le bon modèle peut s’avérer compliqué.
Qu’est-ce qu’une société anonyme ?
Une société anonyme embarque au minimum 2 actionnaires. Ces derniers versent chacun des capitaux dans le projet. Ce peut être des personnes morales ou physiques. Mais dans tous les cas, le capital initial d’une SA est de 37 000 euros.
Pour fonctionner, une société anonyme a besoin d’un conseil d’administration de 3 à 18 membres et d’un dirigeant qui engage sa responsabilité civile dans sa gestion.
Ce modèle d’entreprise fonctionne avec n’importe quel type de société : production de biens et services, industrie, etc.
Les avantages d’une SARL
SARL ou de sa forme longue Société à responsabilité limitée est le statut le plus plébiscité en France. Il présente énormément d’avantages, notamment aux associés. En effet, dans une SARL, chaque associé est tenu de la totalité du passif et de l’actif de l’entreprise, en fonction de leurs apports financiers.
Par ailleurs, le régime social d’une SARL est plus avantageux pour les jeunes entrepreneurs. L’assiette fiscale est soumise à un régime de près de deux fois moins élevées que les régimes classiques.
Les start-ups : pourquoi ce statut intéresse-il les entrepreneur ?
Encore récent, le statut de start-up commence aussi à se faire un nom en France. Il attire surtout les jeunes qui souhaitent travailler dans une ambiance plus détendue.
En moyenne, une start-up bénéficie d’un taux de croissance de près de 7 % par semaine. Tout dépend du secteur dans lequel il travaille. En tous les cas, pour les jeunes entrepreneurs, c’est une aubaine. C’est d’autant plus vrai dans la mesure où le régime fiscal d’un start-up est avantageux.
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